Le paysage urbain va largement changer. La Révolution fait disparaître plusieurs des six abbayes que comptait Soissons. A la fin du XIXe siècle, l’enceinte urbaine des années 1550 disparaît et cède la place aux boulevards de circulation. Surtout, durant la Première Guerre mondiale, la ville à portée des canons allemands est détruite à 80 %. La reconstruction qui s’en suit donne naissance à une cité aérée qui aujourd’hui continue d’évoluer avec son temps en s’appuyant sur son passé… Valorisation du cœur de ville, reconversion du parc Gouraud, mise en tourisme affirmée du site d’abbaye Saint-Jean-des-Vignes, l’histoire de Soissons s’écrit au présent.